[cycloneslider id= »ads-articles »]
Après une courte pause hivernale, Le Mas Candille a de nouveau ouvert les portes de son domaine peu avant la Saint-Valentin. Dès vendredi dernier, c’est dans l’enceinte de cette batisse du 18eme siècle, que quelques privilégiés, ont pu assister à la présentation, en avant-première, du livre « Kennedy, le roman des derniers jours » de Philippe Legrand, journaliste, auteur et directeur de la communication à Paris Match. Une conférence et un diner d’exception dans l’intimité de John Fitzgerald Kennedy auxquels nous avons pu assister.
Kennedy raconté par Philippe Legrand
Si John Fitzgerad Kennedy suscite encore l’intérêt aujourd’hui, c’est presque légitiment qu’il s’impose à Philippe Legrand, qui nous apprend, son lien de parenté avec ce président au destin unique.
Dès les premières minutes, Philippe Legrand nous happe dans l’intimité de ses souvenirs d’enfant et se pose en défenseur d’un Kennedy différent de celui que l’on a enfermé dans certains clichés. Il nous apprend aussi, comment, Kennedy, passionné de journalisme, s’est résigné à suivre ce destin fascinant qui n’était pas le sien et l’honorer avec grandeur.
Présentant des anecdotes et des documents méconnus, Philippe Legrand mêle dans son livre réalité et fiction, tel un témoin caché sous le bureau ovale, pour raconter les 30 derniers jours de l’agenda de « l’homme à la maison Blanche ».
Une conférence passionnante dans l’intimité de Kennedy qui nous a mis en appétit…
Kennedy, le dîner d’honneur
Pour poursuivre cette soirée au cœur de l’Histoire, c’est David Chauvac, le chef étoilé du Candille, qui a interprété un menu inspiré de celui servi à l’Elysée en 1961, lors d’un voyage officiel du couple Kennedy accueilli par le Général de Gaulle.
Un dîner d’exception qui a nécessité, au sommelier Julien Canale, 2 mois de recherche pour présenter des vins aux cépages identiques.
En 5 plats, nos papilles voyagent dans un passé habilement revisité où l’ombre du couple Kennedy plane sur chacun des mets sans prendre une ride !
Au menu, de ce dîner présidentiel :
Foie gras en gelée de porto, chutney de pomme aux épices.
Médaillon de langouste à la parisienne
Grenadin de veau façon Orloff et capuccino de morilles
Déclinaison autour du melon d’hiver
Le tout, accompagné par un vin Gewurztraminer 5 suivi d’un Beaune Grèves 1952 château Meursault.
Pour le lancement de sa nouvelle saison, Le Mas Candille, signe une nouvelle fois, un événement d’exception dans un cadre où l’art et la nature règnent en maîtres.
AblaCarolyn
[easy-social-share buttons= »facebook,twitter,google,pinterest,mail » counters=0 hide_names= »yes » template= »tiny-retina »]
[cycloneslider id= »ads-articles »]