Grow shops: le paradoxe de la législation qui permet d’acheter des graines de cannabis, mais pas d’en planter

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La légalité du CBD et l’usage thérapeutique du cannabis dans de nombreux pays d’Europe rouvre le débat sur la mesure dans laquelle un patient a le droit de pratiquer l’autoculture au lieu d’aller au marché noir.

 

Selon la législation française, fumer de la marijuana dans la rue est totalement interdit, car cela menacerait la sécurité publique. Cependant, la loi sur les drogues comporte de nombreuses lacunes. Par exemple, avoir des plantes à la maison était jusqu’à récemment techniquement légal s’il était démontré que c’était pour la consommation personnelle.

 

De plus, le cannabis léger est tout à fait légal en France et en Europe: en fait, vous pouvez commander des graines de cannabis en ligne sur SensorySeeds, où vous trouverez les meilleures variétés de graines.

 

 

Ce que dit la loi sur le cannabis…

 

On trouverait là un autre vide juridique puisque la consommation propre est très relative puisqu’elle recouvre tout ce que la personne en question peut démontrer qu’elle peut consommer.

Ce qui est certain, c’est qu’il existe une interprétation de la Cour suprême d’une limite qui serait de 20 g par jour, ce qui n’est pas si spécifié dans le nombre de plantes que l’on pourrait avoir dans une ferme ou dans une maison sans encourir directement un crime de trafic.

 

Les magasins de graines et de culture

Et, dans ces vides juridiques, nous trouverions les Grow Shops, qui ne sont rien de plus que des magasins dédiés à la vente de produits pour la culture du cannabis. Alors une autre question se pose: n’est-il pas logique d’interdire l’usage de la marijuana et de vendre des objets qui l’encouragent?

 

La vision des propriétaires de magasins de graines.

Il y a des magasins très différents, mais avec un objectif commun: gagner des droits dans un secteur hautement vilipendé par la politique et la législation. «Il y a un tel vide juridique… Ils l’ont tellement abandonné et tellement oublié».

 

Bien qu’on demande la raison de cet «oubli» de la part des politiques, la réponse est claire: «C’est une question qui n’a pas intérêt à être régularisée, en partie à cause des entreprises pharmaceutiques. De plus, j’ai des clients qui ont enlevé beaucoup de pilules en prenant des huiles».

 

Lorsqu’on parle de légalisation de la marijuana, il est inévitable de parler des entreprises pharmaceutiques, deux secteurs étroitement liés depuis le 19ᵉ siècle, lorsque le cannabis a commencé à être vendu dans les pharmacies, et brusquement séparés en 1918, lorsque la consommation de cette drogue et les pharmacies ont commencé à fabriquer leurs propres médicaments.

 

À l’époque, ils ne s’étaient pas demandés si la vente de cannabis dans les pharmacies pouvait entraîner une augmentation du nombre de personnes qui en consommaient, mais maintenant cette question se pose.

Les personnes ne consommeront pas plus de cannabis parce qu’il y a plus de Grow Shops, et l’on se demande: «Ou est-ce parce qu’il y a plus de supermarchés que les personnes boivent plus de vin?»

 

La vérité est que le catalogage de ces nouveaux établissements – ils n’ont commencé à entrer en France qu’en l’an 2000 – serait à mi-chemin entre les buralistes, les quincailleries et les jardineries.

En effet, en plus des graines, des engrais et de toutes sortes d’outils pour réussir une plantation, ils vendent également des produits légaux pour la consommation de cannabis, tels que des feuilles à rouler ou des broyeurs, très utiles pour moudre la marijuana avant de la fumer.

 

Limites dans la législation

 

Et, c’est que ses limites semblent être très claires, aussi paradoxales soient-elles.

 

Si l’on résume ces restrictions dans une autre comparaison simple: «Vous pouvez vendre tout ce dont, vous avez besoin pour faire pousser de la marijuana, tout comme vous pouvez vendre tout ce dont vous avez besoin pour faire pousser des géraniums. Ce qui serait interdit dans la marijuana, c’est le THC, et le THC est produit à partir de la floraison, donc la vente de graines est légale».

 

D’autre part, la question la plus fréquemment posée par les clients est le nombre de plantes qu’ils peuvent avoir légalement et «la réalité est que vous ne pouvez pas en avoir».

Interdiction qui a été consolidée avec la fameuse Loi Gag, qui établit que toute saisie de plantes encourrait une sanction administrative. Avant cette loi, l’utilisateur était autorisé à disposer du nombre de plantes qu’il pouvait prouver qu’il pouvait consommer.

 

Où acheter les meilleures graines de cannabis online

 

En réalité, il est tout à fait légal de commander et de collectionner les graines de cannabis. Vous pouvez ainsi vous rendre sur le site de SensorySeeds.fr et profiter d’une large sélection de graines de marijuana en ligne.

 

Grâce à des accords avec BSF Seeds, la célèbre banque de graines américaine, vous avez accès à une large sélection de graines de qualité supérieure. Le tout à des prix très compétitifs sur les marchés français et européens.

 

Alors, qu’attendez-vous pour visiter les pages du site? Vous trouverez toutes les informations utiles sur les divers types de graines de marijuana disponibles en ligne et vous pourrez commander vos graines préférées avec une livraison express directement chez vous.

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