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Longeant la Piétonne, minuscule et ombragée, la rue du commandant Raffali pourrait presque passer inaperçue lors de vos balades Niçoises. Et pourtant, au cœur de cette ruelle proche du carré d’or Niçois, des adresses coquettes et gourmandes jalonnent le parcours, dont la Femme du Boulanger à Nice.
La Femme du Boulanger à Nice |
Comme son voisin, Niss’Art Burger (que l’on testera dans pas longtemps à moins que vous le fassiez pour nous, on attend vos commentaires ci-dessous), chez la Femme du Boulanger, la star, c’est le pain ! (en même temps avec un nom pareil vous vous en doutiez, non ?).
A la Femme du Boulanger à Nice, c’est le pain Poilâne qui est mis à l’honneur au creux des assiettes. Pour ceux et celles qui ne connaîtraient pas, cette célèbre miche de pain grise créée dans les années 30 par Pierre Poilâne est devenue au fil du temps la madeleine de Proust du tout-Paris.(en aparté : c’est bel et bien entre Menton et l’Italie, qu’il a appris tout son savoir, donc finalement le Pain Poilâne c’est un peu Azuréen, non ? hum hum).
Parenthèse historique mise à part, c’est bien de nostalgie qu’il s’agit quand l’on rentre dans cet établissement où la décoration joue un rôle important avant même de vous faire voyager les papilles.
Dès la terrasse, vous plongez dans un décor authentique où le bois, les voilages sur les tables, les pots de fleurs en aluminium sentent bon le souvenir d’un déjeuner d’été en Provence jusqu’au panier de légumes colorés et locaux, posé là, sur une table.
A l’intérieur, comme un salon de thé, l’ambiance est ultra cosy et l’on déjeune, on dine ou l’on boit un thé l’après-midi confortablement installé dans la petite salle du fond.
Le menu est simple : tartines Poilâne et diverses salades composées. Au total, 5 façon de déguster cette tranche moelleuse cuite au feu de bois avec des saveurs mêlant le sucré salé pour la Melle Séguin au chèvre chaud au miel de fleurs et poires confites aux épices jusqu’à la la Niçoise composée de légumes du marché et farcis maison.
Le dimanche, c’est brunch ! Avec des pâtisseries exclusivement maison, on se doute que les gourmands s’y pressent.
Ce qu’on en pense :
Adresse sympathique pour un déjeuner entre copines, on cède aussi en période d’hiver aux soupes maison mais également au plat du jour. Le tout-maison, est une valeur sûre. Comptez entre 13,90 et 15,90 € les tartines.
La petite soupe servie en amuse-bouche change au gré du marché et met en appétit. | On aurait bien aimé 5 mm de plus à la tranche de Pain Poilâne pour qu’il ne soit pas perdu sous les différentes saveurs qui composent la tartine. |
La Femme du Boulanger – 3, rue du Commandant Raffali – Nice
Et vous, vous avez testé la Femme du Boulanger à Nice ?
Des bisouilles,
AblaCarolyn
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